Les principaux interdits alimentaires en islam comprennent la viande de porc, le sang, les animaux morts naturellement, et toute viande qui n’a pas été abattue selon les règles islamiques. L’alcool et les substances intoxicantes sont également strictement interdits (haram).

La viande consommée par les musulmans est appelée viande halal. Ce terme désigne une viande provenant d’un animal abattu selon les prescriptions islamiques, avec l’invocation du nom d’Allah et selon des règles précises d’abattage.

Non, l’alcool n’est pas halal. Il est considéré comme haram (interdit) dans l’islam. La consommation d’alcool et de toute substance intoxicante est formellement prohibée dans le Coran.

La consommation de viande de cheval est un sujet de divergence entre les écoles juridiques islamiques. Certains savants la considèrent comme halal (permise) tandis que d’autres la déconseillent. La majorité des écoles juridiques la considèrent comme licite si l’animal est abattu selon les règles islamiques.

L’hérisson n’est généralement pas considéré comme halal. Selon la majorité des écoles juridiques islamiques, les animaux carnivores et ceux possédant des crocs sont interdits à la consommation.

Les dattes sont particulièrement recommandées le matin, suivant la tradition prophétique. Le miel, l’eau de Zamzam, les fruits frais et les aliments nutritifs naturels sont également encouragés. Le Prophète Muhammad (paix et bénédictions sur lui) recommandait de manger sept dattes le matin.

Il n’existe pas de plat universellement préféré par tous les musulmans, car l’islam est pratiqué dans de nombreux pays avec des cultures culinaires variées. Cependant, historiquement, le Prophète Muhammad appréciait particulièrement le tharid (pain trempé dans un bouillon de viande) et les dattes.

Les musulmans mangent une grande variété de repas halal selon leur culture d’origine. Les repas doivent respecter les interdits alimentaires islamiques et privilégier les aliments licites. Chaque région musulmane possède sa propre tradition culinaire, du couscous maghrébin au biryani pakistanais.

Les quatre grands imams fondateurs des écoles juridiques sunnites sont : l’imam Abu Hanifa (école hanafite), l’imam Malik ibn Anas (école malikite), l’imam Muhammad ibn Idris al-Chafi’i (école chaféite) et l’imam Ahmad ibn Hanbal (école hanbalite). Ces savants ont vécu entre le 8e et le 9e siècle.

Parmi les imams les plus connus figurent l’imam Abu Hanifa, l’imam al-Chafi’i et l’imam Malik. Dans l’histoire contemporaine, des figures comme l’imam al-Ghazali et l’imam Ibn Taymiyyah sont également très respectés pour leurs contributions au savoir islamique.

L’islam n’a pas de chef religieux centralisé unique. C’est une religion décentralisée où l’autorité religieuse est distribuée entre les savants (oulémas), les juristes (faqih) et les imams. Chaque communauté musulmane peut avoir ses propres autorités religieuses locales.

Il n’existe pas d’imam unique pour tous les musulmans du monde. L’islam sunnite n’a pas de hiérarchie religieuse centralisée. Différents pays et communautés ont leurs propres autorités religieuses et grands savants respectés.

Il n’y a pas de grand chef unique pour tous les musulmans. Historiquement, le calife était le leader politique et religieux, mais le califat a été aboli en 1924. Aujourd’hui, l’autorité religieuse est partagée entre de nombreux savants et institutions islamiques à travers le monde.

Les cinq piliers de l’islam sont : la profession de foi (chahada), la prière quotidienne (salat) effectuée cinq fois par jour, l’aumône légale (zakat), le jeûne du mois de ramadan (sawm) et le pèlerinage à La Mecque (hajj) au moins une fois dans sa vie pour ceux qui en ont les moyens.

Allah est le nom arabe de Dieu, utilisé par les musulmans pour désigner le Dieu unique, créateur de l’univers. Dans la croyance islamique, Allah est éternel et n’a ni début ni fin. Le terme « Allah » était déjà utilisé par les arabes préislamiques pour désigner le Dieu suprême, bien que le message prophétique ait purifié et clarifié la compréhension du monothéisme.

Dans l’islam, la femme est considérée comme l’égale spirituelle de l’homme. Elle a des droits et des devoirs religieux, peut étudier, travailler, posséder des biens et participer à la vie sociale. L’islam accorde une grande importance au respect de la mère et reconnaît les contributions des femmes dans tous les domaines de la vie.

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Si cette question concerne l’imam Muslim ibn al-Hajjaj, auteur du célèbre recueil de hadiths « Sahih Muslim », il est né à Nichapour (actuel Iran) en l’an 821 de notre ère. C’était l’un des plus grands compilateurs de hadiths de l’histoire islamique.